Parce qu'elle me soutient, parce qu'elle m'écoute et parce que malgré la distance elle est toujours là.
C'est ensemble que nous avons commencé à noter des citations des films que nous regardions au bateau pendant nos années au CNED. Elle a donc été l'une des première à qui j'ai osé faire écouter mes essais et elle m'a fait la demande du poème que voici:
«II est une douleur millénaire qui rend notre souffle dérisoire. Le poète est celui qui risque les mots. Il les dépose pour pouvoir respirer. Cela ne rend pas ses nuits plus paisibles.